Parmi les fêtes orthodoxes propres à un pays en particulier figure la slava serbe. Nous avions déjà présenté cette belle tradition dans un article précédent. Nous aimerions revenir maintenant sur les origines de cette fête et sa signification historique pour la Serbie. Les origines de la fête sont anciennes. Certains disent qu’elle serait le vestige d’une ancienne coutume païenne : chaque foyer avait son dieu…
Article publié dans “Témoigner aujourd’hui”
Dostoïevski n’est pas un chrétien qui cultive la nostalgie. Il cherche au contraire à réinstaller l’éthique chrétienne au cœur du monde moderne — dans une période où les athées se font de plus en plus nombreux, où la science, la technique et la politique offrent des promesses inouïes mais font naître de nouvelles menaces, où les familles vacillent, où la vie sociale bouillonne et semble…
Au sein du Patrimoine Culturel Immatériel de l’Humanité de l’UNESCO figure une tradition orthodoxe, la slava serbe. Cette fête, incontournable pour les serbes, est peu connue des autres orthodoxes, et nombreux sont ceux qui ne connaissent même pas de nom cette tradition. La Slava serbe, fête du saint patron familial La slava est une fête familiale : elle célèbre le saint patron de la famille,…
Le sujet du cheminement de l’homme après la mort est un sujet difficile pour la théologie. Dans l’Eglise orthodoxe, on se garde de dogmatiser en formulant une doctrine trop précise à ce sujet, malgré les enseignements divers qui circulent. C’est toujours à l’aide des images que la Tradition procède, en commençant par le Nouveau Testament qui nous parle du grain de blé qui doit mourir…
Les romans de Dostoïevski évoquent abondamment les difficultés que nous connaissons pour nouer des relations joyeuses, égalitaires et sincères avec autrui. Ses héros ont tendance à s’isoler du monde. Raskolnikov, dans Crimes et châtiment, se terre dans sa chambre d’étudiant ou erre dans les rues de Saint-Pétersbourg. Rogojine (L’Idiot) ne connaît que la violence dans ses rapports aux autres. Stavroguine, dans Les Démons, fascine tous…
L’ange accompagne la question d’un regard terrible, sous ses sourcils ébouriffés comme la pointe de ses ailes. On bégaie un « oui » pas très ferme, ajoutant ce mensonge à la longue liste de nos manquements. Nous viennent pourtant à l’esprit ces soirées paressées devant l’ordinateur, à avaler des épisodes de séries plutôt que de courir hôpitaux et prisons. L’ange ébouriffé n’est pas dupe et l’on sent…